Fais-moi ouïr
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Fais-moi ouïr
1990
Cette photographie de Dingo créée pour le magazine Rétroviseur, nous transporte dans un univers empreint de nostalgie. Elle évoque les années 1930 au lever du soleil dans la campagne, où un cabriolet Auburn de légende, symbole de luxe et d’indépendance, est posé sur un champ givré. La scène dégage un charme intemporel, mêlant le raffinement du véhicule à la rusticité du décor matinal.
Au premier plan, une femme de dos, bourgeoise indépendante, est assise en solitaire. Drapée dans une cape de fourrure et coiffée d’un chapeau élégant, elle est plongée dans l’écoute de la musique émanant de deux anciens gramophones. Ce moment d’isolement devient une célébration personnelle du plaisir et du luxe, une évasion sensorielle où la femme semble jouir pleinement de chaque note. La posture détendue, le cadre intime et l’absence de son visage renforcent l’idée d’une jouissance auditive presque subversive, où l’écoute devient un acte de pur plaisir personnel.
Le titre provocateur « Fais-moi ouïr » joue subtilement avec le double sens du verbe « ouïr », suggérant une expérience à la fois auditive et sensuelle. Ici, l’écoute devient une métaphore pour la jouissance, un plaisir intense et privé que la femme savoure loin du regard des autres. Dingo utilise cet instant pour brouiller les frontières entre l’art et le désir, créant une image qui invite le spectateur à partager un moment de pure indulgence, presque transgressive, où la musique et l’automobile se rejoignent dans une harmonie audacieuse et résolument personnelle.
Passionné par l’automobile et la musique, Dingo fusionne ici ses deux amours pour capturer une scène qui ne se contente pas de représenter, mais de transporter. Chaque élément de cette composition reflète l’œil acéré de l’artiste, pour qui les voitures ne sont pas seulement des machines mais des œuvres d’art mobiles, et la musique, une porte vers l’âme. Cette dualité se retrouve dans la photographie, où le vrombissement silencieux du cabriolet et la mélodie éthérée des gramophones se répondent dans une symphonie visuelle et auditive, marquant ainsi l’empreinte distinctive de l’artiste.
- Collections : Automobile, Dingo
Les différents types d’encadrements et de finitions disponibles
Le tirage est accompagné de son certificat d’authenticité et de son hologramme Hanhnemühle collé au verso.
L’encadrement est à réaliser par vos soins.
La caisse américaine, épurée et design, est l’un des encadrements préférés des galeries et des musées d’art contemporains.
La caisse américaine met parfaitement en valeur votre tirage photographique.
L’espacement entre le cadre et l’image produit un effet de flottement et met en relief l’image, c’est un encadrement d’art idéal pour maximiser la profondeur et l’élégance des œuvres de notre collection.
Le tirage est contrecollé sur une plaque de Dibond de 2 mm et est placé dans la caisse.
La profondeur du cadre de la caisse américaine mesure 4 cm et l’écart situé entre la photographie et les bords intérieurs de la caisse mesurent 0,8 cm pour les finitions noires ou blanches et 1 cm pour les finitions bois (Chêne, Wengé…). Cette disposition produit un effet de « flottaison » particulièrement réjouissant à l’oeil. Enfin, un dispositif d’accroche est fixé au dos de la caisse pour une installation rapide, simple et sécurisée.
Cet encadrement classique allie élégance intemporelle et sophistication, offrant une présentation sublime pour vos œuvres d’art et photographies les plus précieuses. Un cadre en bois ou en alu, choisi pour sa sobriété et sa noblesse, apporte une touche d’authenticité et de raffinement à votre pièce.
Le passe-partout, élément essentiel de cet ensemble, rehausse l’œuvre en créant un espace visuel autour de celle-ci. Il met en valeur les détails et les nuances tout en apportant une profondeur supplémentaire. Choisi avec soin, il complète parfaitement l’œuvre sans la surcharger, permettant à chaque détail de se démarquer.
Enfin, le verre musée, d’une qualité exceptionnelle, offre une protection optimale contre les éléments nuisibles tels que la poussière, l’humidité et les rayons UV. Grâce à sa clarté inégalée et à ses propriétés anti-reflet, il garantit une visibilité parfaite sous tous les angles, permettant à votre œuvre de briller sans distractions.
Cet ensemble harmonieux transforme chaque œuvre en un chef-d’œuvre, prêt à être admiré et préservé pour les générations à venir. Investir dans un encadrement classique, c’est choisir de sublimer et de protéger ce qui vous est cher avec une distinction inégalée.
Contactez-nous pour tout format spécifique ou des finitions sur mesure, que ce soit pour le choix du papier d’art, l’ajout d’une marge blanche, l’essence de bois du cadre ou même un encadrement spécifique.
Nous sommes à votre écoute pour répondre à vos besoins et sublimer votre tirage photographique Fine Art.
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L’auteur
Dingo
Photographe
Le tirage Fine Art est posé sur un carton neutre, puis recouvert d’un passe partout blanc biseauté de 7 cm de côté et d’un verre musée, anti-reflet et anti-UV avant d’être encadré par un cadre en alu noir ou en bois (noir, blanc, chêne ou wenge).
Le tirage est contrecollé sur une plaque de Dibond de 2 mm et fixé sur un châssis dans la caisse américaine pour donner un effet de profondeur visuelle.